Le témoignage du mois : Mélanie BORÉ - Générale des Services Ancenis
Elles se renseignent sur ce qu’elles peuvent proposer et estiment les besoins existants sur leur territoire. Ouvrir une agence de services à la personne devient alors une évidence. De nombreuses personnes, notamment des élus, leur déconseillent de se lancer seules dans cette aventure. Elles contactent alors Générale des Services avec qui elles ont déjà travaillé et rencontre Tanguy Marchand ainsi que Didier Chateau en avril 2017. C’est un véritable coup de cœur, une évidence, le réseau, d’utilité publique, correspond parfaitement à leurs valeurs et la dimension humaine occupe la place prépondérante qu’elles souhaitaient. Elles débutent donc leurs 40 jours de formation en septembre. Après avoir beaucoup appris et se sentant prêtes, elles ouvrent leur agence en janvier 2018. Mettant en place un management bienveillant, basé sur l’humain et l’évolution des salariés, elles ont, très peu de turnover dans leur équipe de 50 salariés et comptent de nombreuses candidatures en attente. Le pari de la solidarité dont elles rêvaient est gagné !
Elles font face à un tel dynamisme et une telle demande, tant de leurs clients, que des demandeurs d’emploi, qu’elles ont décidé d’ouvrir une seconde agence Générale des Service à Beaupréau-en-Mauges (49) en août prochain.
Le + de Générale des Services selon Mélanie Boré :
« La capacité à proposer différentes prestations à domicile ! Pour moi, cela est une réelle force. En effet, on intervient très souvent en premier lieu pour le ménage chez nos bénéficiaires, puis petit à petit on élargit notre périmètre d’action vers une globalité de services. Cela est rendu possible, car au-delà de la qualité de nos prestations, nous apportons des conseils et un véritable accompagnement des personnes dans les prises en charge».
Le conseil aux futurs entrepreneurs de Mélanie Boré :
« Il est important de réellement réfléchir à sa politique de recrutement et de fidélisation. Il faut également accepter d’en apprendre tous les jours et de se remettre en question. Dans notre travail, il faut réussir à trouver le bon mariage entre le bénéficiaire et l’intervenant, ce qui n’est pas toujours évident ».